LA TUTELA DEL CONSUMATORE IN CAMERUN CON PARTICOLARE RIGUARDO AI CONSUMATORI DI SERVIZI DI COMUNICAZIONE ELETTRONICA

Le secteur des télécommunications sont l'un des secteur pionniers de l'économie camerounaise . Au Cameroun, il y'a désormais trois opérateurs de téléphonie mobile et une centaine de distributeurs des services Internet. Ce secteur est soumis à la réglementation de l' Agence de Régulation des Télécommunications ( ART ) sous la supervision du Ministère des Postes et Télécommunications qui joue un rôle institutionnel . La mission de l'ART est de veiller au respect des lois. Elle arbitre les litiges entre les opérateurs et assure la conformité avec les normes de la concurrence . À l'appui des missions de l'ART , il existe des associations de consommateurs qui en plus de leurs missions d'information et d'éducation, jouent un rôle majeur dans la défense de l'intérêt collectif de leurs différents membres . Avec la loi n ° 98 / 014 du 14 juillet 1998 sur les télécommunications au Cameroun , la libéralisation du secteur des télécommunications a encouragé l'initiative privée de même que le développement harmonieux de la téléphonie mobile et l' Internet . Toutefois , la présomption d' efficacité de la libéralisation qui a été accrédité , reste assombri par le manque de confiance des consommateurs sur le marché dans lequel la quête du profit continue à se développer au détriment de l'éthique contractuelles et de la concurrence . En fait , avec l'arrivée de la téléphonie et de l'Internet au Cameroun, le nombre de consommateurs déçus et en colère a augmenté de façon exponentielle. A tort ou à raison, le résultat reste: la nature fantaisiste de la facturation, de l'exagération de la tarification, les interceptions intempestives dans les correspondances privées , l'abus systématique de contrat , et la mauvaise qualité des services . Les droits des consommateurs de services de communications électroniques ont été révisées par la loi n ° 2010/013 régissant les communications électroniques et la loi n ° 2010/012 relative à la cybersécurité et la cybercriminalité , adopté 21 Décembre 2010. Les garanties institutionnelles des intérêts des consommateurs sont préservés et renforcés . La loi de 2010 est plus efficace que celle de 1998. cependant, les deux textes sont toujours remis en question en fonction de ce qui est connu de la pratique de contrats et contentieux dans le secteur des communications électroniques .

Le telecomunicazioni costituiscono uno dei settori fondamentali dell'economia camerunese. In questo momento in Camerun sono presenti tre operatori di telefonia mobile e una centinaia di gestori delle reti. Il settore della telecomunicazione è sottomesso a regolazione dall'Agenzia di Regolazione delle Telecomunicazioni (ART) sotto tutela del Ministero delle poste e delle telecomunicazioni che assicura un ruolo istituzionale. L'ART gestisce la regolamentazione, arbitra i litigi tra gli operatori, ed assicura il rispetto delle regole della concorrenza. In supporto all'ART ci sono le associazioni dei consumatori che, oltre a svolgere missioni informative ed educative, rivestono un ruolo fondamentale nella difesa dell'interesse collettivo. Con la legge n°98/014 del 14 luglio 1998 che regolava le telecomunicazioni in Camerun, la liberalizzazione del settore delle telecomunicazioni ha incoraggiato l'iniziativa privata e l'utilizzo della telefonia mobile e di Internet. Tuttavia, la presunzione di efficacia di cui la liberalizzazione è stata accreditata, rimane offuscata dalla sfiducia dei consumatori nei confronti del mercato in cui la ricerca del profitto si sviluppa continuamente a scapito dell'etica contrattuale e della concorrenza. Infatti, dall'arrivo della telefonia e di internet in Camerun, il numero dei consumatori delusi e arrabbiati è aumentato in modo esponenziale a causa delle truffe eseguite sulle fatturazioni, delle cifre spropositate delle tariffazioni, delle intercettazioni inopportune delle corrispondenze private, della sistematizzazione degli abusi contrattuali e della scarsa qualità dei servizi. I diritti dei fruitori dei servizi di comunicazioni elettroniche sono stati rivisti dalla legge n°2010/013 che disciplina le comunicazioni elettroniche e dalla legge n°2010/012 relativa alla cyber sicurezza ed alla cyber criminalità, promulgate il 21 dicembre 2010. Le garanzie istituzionali degli interessi dei consumatori sono stati preservati e rinforzati, ma i miglioramenti effettuati dal legislatore hanno alcune lacune e sono ancora messi in discussione come si nota nella prassi dei contratti e nei contenziosi nel settore delle comunicazioni elettroniche.